Animo a remporté
l’iF Design Award avec l’OptiBean Touch pour son côté glamour, ses performances, sa fiabilité et son caractère éco-responsable.
Si sept ans auparavant, la filiale française réalisait 90 % de son chiffre d’affaires sur le marché des grandes cuisines, elle s’impose de plus en plus en CHR et en OCS, notamment grâce à des équipements comme l’OptiBean dont la déclinaison Touch a été lancée en 2017.
En début d’année dernière, Damien Ruet prenait ses fonctions en tant que directeur. Son équipe de six personnes construit alors une stratégie tournée vers la conquête des marchés de l’HoReCa. C’est au SIRHA de l’an dernier que l’élégante OptiBean est présentée dans sa version Touch, et séduit les professionnels par son positionnement premium. Ses performances lui permettent de jouer sur la porosité de l’HoReCa et de l’OCS, présentant des exigences communes. « Aujourd’hui, 30 % de notre chiffre d’affaires proviennent de ces marchés », affirme le responsable de la filiale nationale. Il explique en outre que l’expansion d’Animo en France tient à « une interaction soutenue avec la maison-mère. La France est un terrain très spécifique par rapport à l’Europe. Par exemple, l’OptiBean est ici distribuée en CHR à plus de 80 % alors qu’aux Pays-Bas, elle est majoritairement placée en Office. Nous travaillons donc dans une relation de confiance avec le siège. Nous remontons les besoins que nous captons auprès de nos clients, les tendances de fond comme les demandes particulières, et trouvons un appui réel sur tous les plans, notamment aux niveaux technique, marketing et commercial ».
Surfer sur la montée en gamme générale
D’après le responsable, le marché de l’OCS, notamment avec les coffee corners, continue d’être porté par l’élan de la premiumisation, qui s’exprime selon lui au niveau du design -les machines sont plus « glamour »-, et des nouvelles technologies, facilitant l’appréhension du matériel par tous d’une part et l’interaction avec le client d’autre part : « Nous trouvons notre place dans cette mouvance. Nous sommes également sensibles à la problématique de l’éco-responsabilité dont s’emparent de plus en plus les acteurs de ce métier », affirme-t-il.